Publié le : 22 février 20225 mins de lecture
Le Yin et le Yang représentent les deux éléments complémentaires de la dualité fondamentale. On les symbolise traditionnellement sous la forme d’un cercle divisé en deux parts égales de couleur différente, contenant chacune un cercle plus petit de la couleur de la moitié opposée.
La femme est Yin, l’homme est Yang.
La loi universelle du changement par l’interaction du yin et yang entraîne avec elle celle de la réversibilité. Le Tao est immuable, absolument pur mais, dans le monde delà dualité, un bien peut devenir un mal et un mal un bien. Chaque élément croît jusqu’à son apogée puis décline, révélant au fur et à mesure son opposé. Il n’y a rien qui soit absolu dans le monde phénoménal..
L’homme est responsable de la plupart des maux qui l’accablent. C’est pourquoi, lui seul peut s’en guérir. Certaines calamités, dont il prétend à la légère qu’elles sont » naturelles « , entendant par-là qu’il abdique tout espèce de responsabilité à leur égard, le deviendront au plein sens du terme quand il aura réalisé leur causes véritables.
Intro du jeu du yin et du Yang.
Le jeu du Yin et du Yang consiste à jouer en couple ou en groupe, n’ont pas avec dépendance ou soumission mais en acceptant son ou sa partenaire comme un être qui se donne avec Amour.
Ce jeu contribue fortement à l’épanouissement du couple, quelques règles néanmoins sont nécessaires et doivent être élaborées, dès le départ.
Dans un couple nécessairement et il y a conflits de temps à autre, certains conflits sont difficiles à gérer, car la source est difficile à identifier.
Un petit rien, peu dégénérer en une dispute, apprenons à gérer ses petits riens, et à les identifier.
L’homme et la femme sont constitués d’une part de Yang et Yin, pour arriver à une harmonie dans le couple, il faut équilibrer sur chaque personne sa partie Yang et Yin par rapport à son partenaire, et que cet équilibre reste constant, voilà tout le problème.
Les participants à ce jeu doivent contrôler leurs égos ou du moins en prendre conscience.
Le jeu est simple. Un partenaire désire des choses, et l’autre est la personne qui fait ces désirs deviennent réalité. Puis les rôles sont inversés.
En couple comme dans les autres aspects de notre vie, les problèmes qu’on néglige de régler ne disparaissent pas. Au contraire, ils prennent souvent de l’ampleur avec le temps et servent de terrain fertile à d’autres problèmes qui viennent s’y greffer. Ainsi, plus le temps passe et plus on a tendance à tenter de les mettre au rancard ou simplement à les ruminer. Le plus désolant c’est que, très souvent, ces problèmes reposent sur un malentendu qu’il aurait été facile de clarifier au moment où il s’est produit.
Ce jeu apprend à prendre les responsabilités de vos désirs. Vous les exprimer clairement, et fait en sorte que cela arrive, il compris vos fantasmes les plus fous.
Nous avons donc vu en première partie comment prendre son désir pour une réalité, à tour de rôle dans le jeu du Yin et du Yang.
Maintenant nous allons continuer l’introduction du jeu en abordant les désirs non satisfaits .
Exemple : Catherine avait demandé à Christian de s’occuper du pain pendant toute la semaine, or Christian a failli à ses engagements arrivés au mercredi, il n’y avait plus de pain sur la table.
Que va-t-il arriver à Christian ?
Réponse : Catherine souhaite que Christian choisisse dans la liste du niveau 1 un acte à effectuer.
Il est conseiller lorsqu’on joue à ce jeu d’établir pour les souhaits une liste à trois niveaux.
La personne (Christian) n’ayant pas respecter l’action de départ « le désir », choisi dans la liste des souhaits et selon le niveau déterminer par le demandeur.
Là, pour le manque de pain, le niveau 1 sera proposé par Catherine.
Rappelez-vous, que même les souhaits les plus fou, niveau 3, ne sont pas si terrible que ça, par rapport à une rupture totale, qui reste beaucoup plus douloureuse et que certaines personnes ne s’en remette jamais, sans parler des conséquences psychologiques pour les enfants.
Entretenir son couple est donc primordial, c’est le but de ce jeu.
